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Hungarian interview - Joseph Cselenyi
Description
Joseph Cselenyi explains how, when and why he immigrated to Canada from Hungary. Mr. Cselenyi escaped Hungary by going through Beureuth (Austria.) He shares his first impressions of Toronto, and explains how he reacted to the much freer atmosphere in Canada. The first job that he had in Toronto was working in interior design. He describes how he got back to his original chosen profession—theatre. Mr. Cselenyi decided to combine interests and works in both fields. At the time of this interview he was teaching theatre art at Ryerson Polytechnical Institute (now Ryerson University), in Toronto. Mr. Cselenyi talks about how he has coped with learning English. He then describes where he lives in the city and how he was able to buy his house. Mr. Cselenyi's wife owns her own restaurant downtown, and his son is a student of architecture. When asked about his hopes for the future, Mr. Cselenyi says that he has none, because he has already gotten everything from this country that he ever hopes to get., Joseph Cselenyi explique comment, quand et pourquoi il a quitté la Hongrie pour immigrer au Canada. M. Cselenyi s’est enfui de la Hongrie en passant par Beureuth (Autriche). Il partage ses premières impressions sur la ville de Toronto et explique ce qu’il a ressenti quand il s’est retrouvé dans une atmosphère beaucoup plus libre au Canada. Son premier emploi à Toronto était dans le design d’intérieur. Il raconte comment il a pu reprendre sa profession originale, celle qu’il avait choisie et qui était le théâtre. M. Cselenyi décide alors de combiner ses intérêts et de travailler dans les deux domaines. Au moment de l’entrevue, il enseignait l’art du théâtre à l’Institut polytechnique de Ryerson (aujourd’hui l’Université Ryerson), à Toronto. M. Cselenyi raconte comment il s’est débrouillé pour apprendre l’anglais. Il décrit le quartier où il habite et comment il a pu acheter sa maison. L’épouse de M. Cselenyi a ouvert un restaurant au centre-ville et son fils étudie l’architecture. Lorsqu’on lui demande quels sont ses espoirs pour le futur, M. Cselenyi répond qu’il n’en a aucun car ce pays lui a déjà offert tout qu’il osait espérer.